The Works of Lord Byron, Volume 4 | Page 8

Lord Byron
Geneva, 1856, p. 159): "Et nous disons que les prebstres rongent les mortz et est vray; mais nous faisons bien pys, car nous rongeons les vifz. Quel profit revient aux paveures du dommage des prebstres? Nous nous ventons touttes les deux parties de prescher Christ cruciffie et disons vray, car nous le laissons cruciffie et nud en l'arbre de la croix, et jouons a beaux dez au pied dicelle croix, pour scavoir qui haura sa robe."
For Bonivard's account of his second imprisonment, see _Les Chroniques de Genève_, tom. ii. part ii. pp. 571-577; see, too, _Notice sur Fran?ois Bonivard_, ...par Le Docteur J. J. Chaponnière, Mémoires et Documents Publiés, par La Société d'Histoire, etc., de Genève, 1845, iv. 137-245; _Chillon Etude Historique_, par L. Vulliemin, Lausanne, 1851; _Revue des Deux Mondes_, Seconde Période, vol. 82, Ao?t, 1869, pp. 682-709; "True Story of the Prisoner of Chillon," _Nineteenth Century_, May, 1900, No. 279, pp. 821-829, by A. van Amstel (Johannes Christiaan Neuman).
_The Prisoner of Chillon_ was reviewed (together with the Third Canto of _Childe Harold_) by Sir Walter Scott (_Quarterly Review_, No. xxxi., October, 1816), and by Jeffrey (_Edinburgh Review_, No. liv., December, 1816).
With the exception of the _Eclectic_ (March, 1817, N.S., vol. vii. pp. 298-304), the lesser reviews were unfavourable. For instance, the _Critical Review_ (December, 1816, Series V. vol. iv. pp. 567-581) detected the direct but unacknowledged influence of Wordsworth on thought and style; and the _Portfolio_ (No. vi. pp. 121-128), in an elaborate skit, entitled "Literary Frauds," assumed, and affected to prove, that the entire poem was a forgery, and belonged to the same category as _The Right Honourable Lord Byron's Pilgrimage to the Holy Land, etc._
For extracts from these and other reviews, see K?lbing, _Prisoner of Chillon, and Other Poems_, Weimar, 1896, excursus i. pp. 3-55.
SONNET ON CHILLON
Eternal Spirit of the chainless Mind![1]?Brightest in dungeons, Liberty! thou art:?For there thy habitation is the heart--?The heart which love of thee alone can bind;?And when thy sons to fetters are consigned--?To fetters, and the damp vault's dayless gloom,?Their country conquers with their martyrdom,?And Freedom's fame finds wings on every wind.?Chillon! thy prison is a holy place,?And thy sad floor an altar--for 'twas trod,?Until his very steps have left a trace?Worn, as if thy cold pavement were a sod,?By Bonnivard!--May none those marks efface!?For they appeal from tyranny to God.[2]
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When this poem[a] was composed, I was not sufficiently aware of the history of Bonnivard, or I should have endeavoured to dignify the subject by an attempt to celebrate his courage and his virtues. With some account of his life I have been furnished, by the kindness of a citizen of that republic, which is still proud of the memory of a man worthy of the best age of ancient freedom:--
"Fran?ois De Bonnivard, fils de Louis De Bonnivard, originaire de Seyssel et Seigneur de Lunes, naquit en 1496. Il fit ses études à Turin: en 1510 Jean Aimé de Bonnivard, son oncle, lui résigna le Prieuré de St. Victor, qui aboutissoit aux murs de Genève, et qui formait un bénéfice considérable....
"Ce grand homme--(Bonnivard mérite ce litre par la force de son ame, la droiture de son coeur, la noblesse de ses intentions, la sagesse de ses conseils, le courage de ses démarches, l'étendue de ses connaissances, et la vivacité de son esprit),--ce grand homme, qui excitera l'admiration de tous ceux qu'une vertu héro?que peut encore émouvoir, inspirera encore la plus vive reconnaissance dans les coeurs des Genevois qui aiment Genève. Bonnivard en fut toujours un des plus fermes appuis: pour assurer la liberté de notre République, il ne craignit pas de perdre souvent la sienne; il oublia son repos; il méprisa ses richesses; il ne négligea rien pour affermir le bonheur d'une patrie qu'il honora de son choix: dès ce moment il la chérit comme le plus zélé de ses citoyens; il la servit avec l'intrépidité d'un héros, et il écrivit son Histoire avec la na?veté d'un philosophe et la chaleur d'un patriote.
"Il dit dans le commencement de son Histoire de Genève, que, _dès qu'il eut commencé de lire l'histoire des nations, il se sentit entra?né par son go?t pour les Républiques, dont il épousa toujours les intérêts:_ c'est ce go?t pour la liberté qui lui fit sans doute adopter Genève pour sa patrie....
"Bonnivard, encore jeune, s'annon?a hautement comme le défenseur de Genève contre le Duc de Savoye et l'Evêque....
"En 1519, Bonnivard devient le martyr de sa patrie: Le Duc de Savoye étant entré dans Genève avec cinq cent hommes, Bonnivard craint le ressentiment du Duc; il voulut se retirer à Fribourg pour en éviter les suites; mais il fut trahi par deux hommes qui l'accompagnaient, et conduit par ordre du Prince à Grolée, où il resta prisonnier pendant deux ans. Bonnivard était malheureux dans ses voyages: comme ses malheurs n'avaient
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