ici dans coquetterie avec le czarisme des conditions ind��pendantes russe, sont pour beaucoup la de notre volont��. En France, cause de l'inqui��tude et des on peut le d��sapprouver ou le armements constants de regretter, mais dans les l'Europe? milieux pr��dominants, on pense, aujourd'hui comme jadis, �� faire dispara?tre les cons��quences de la guerre de 1870-71. L'alliance entre la France et la Russie a ��t�� motiv��e par ces faits. Que cette alliance ait ��t�� contract��e par ��crit ou non, elle existe par une certaine solidarit�� d'int��r��ts entre ces deux pays contre l'Allemagne, et elle continuera d'exister. BEBEL. S��ance du 25 juin 1890.
Nous n'avons pas besoin de Si la triple alliance a pu dire que la diplomatie et ses ��tre conclue ... elle l'a ��t��, oeuvres ne nous inspirent que parce que les int��r��ts des tr��s peu de confiance. trois puissances, en face de N��anmoins, nous devons nous l'entente franco-russe, sont prononcer pour la triple n��cessairement solidaires, en alliance dont la raison d'��tre dehors des rapports mutuels est le maintien de la paix et, des diff��rents peuples de ces par cons��quent, est utile. pays... Je suis convaincu qu'aucun homme d'��tat, ni en Autriche, ni en Italie, ni en Allemagne, ne voudra, tant que cette situation durera, se d��tacher de cette alliance, car il exposerait, par cela m��me, son pays �� un grand danger, dans le cas o�� les deux autres puissances alli��es seraient vaincues dans une guerre. BEBEL. S��ance du 25 juin 1890.
Si jamais quelque part �� Nous avons d��clar�� d��j�� bien l'��tranger, l'espoir existe souvent, et, pour moi, je qu'en cas d'une attaque contre renouvelle cette d��claration, l'Allemagne on pourrait compter que nous sommes pr��ts �� remplir sur notre abstention, cet envers la patrie exactement espoir se verrait compl��tement les m��mes devoirs que tous les d��?u. D��s que notre pays sera autres citoyens... Je sais attaqu��, il n'y aura plus qu'il n'y a personne parmi qu'un parti, et nous autres, nous qui pense diff��remment �� d��mocrates-socialistes, nous ce sujet. ne serions certes pas les AUER. S��ance du 8 d��cembre derniers �� remplir notre 1890. devoir. Il a ��t�� dit ... que le Reichstag allemand ne travaille pas avec autant d'ardeur �� la d��fense de la patrie que le Parlement fran?ais. Eh bien, moi je d��clare que quand il s'agit de la d��fense de la patrie, tous les partis sont unis; que s'il s'agit de se d��fendre contre un ennemi ��tranger, aucun parti ne restera en arri��re. LIEBKNECHT. S��ance du 16 mai 1891.
L'attaque contre la Russie officielle, cruelle, barbare, voire l'an��antissement de cette ennemie de la civilisation, est donc notre devoir le plus sacr��, que nous devons remplir jusqu'�� notre dernier soupir dans l'int��r��t m��me du peuple russe, opprim�� et g��missant sous le knout. Et si alors nous combattons dans les rangs �� c?t�� de ceux qui actuellement sont nos adversaires, nous ne le faisons pas pour les sauver eux et leurs institutions politiques et ��conomiques, mais pour l'Allemagne en g��n��ral, c'est-��-dire pour nous sauver nous-m��mes et pour d��livrer des barbares un pays, o�� nous pensons un jour r��aliser notre propre id��al social. BEBEL. Vorwaerts du 27 septembre 1891.
Et maintenant, Liebknecht peut pr��tendre que ?des citations mutil��es n'ont aucune signification?, que ?les bases sur lesquelles Vollmar s'appuie s'effondrent?. celui-ci se d��clare pr��t--et il a raison--�� citer encore d'autres discours absolument analogues. Il para?t, du reste, que Liebknecht a conscience de sa faiblesse, lorsqu'il reconna?t que ?les expressions cit��es, scrupuleusement pes��es, ne sont peut-��tre pas des plus correctes?, ce qui ne l'emp��che pas de protester contre la supposition d'avoir, lui, Bebel et Auer, ?voulu prescrire une autre tactique, une autre action au parti?. Cette supposition s'impose cependant �� tous ceux qui ont le moindre sens commun, et toutes les d��clarations de Liebknecht et de la fraction socialiste enti��re n'infirmeront nullement ce que Vollmar leur reproche en s'appuyant sur des citations qui prouvent surabondamment que Bebel et Liebknecht ont dit exactement la m��me chose que lui. Il n'y a donc aucune raison pour attaquer Vollmar �� ce propos, �� moins que l'on veuille ici appliquer le dicton: _Quod licet Jovi, non licet bovi_. Ce qui est permis �� Jupiter, n'est pas permis au boeuf.
Quelle fut la r��ponse de Vollmar �� l'accusation d'avoir voulu inaugurer une nouvelle tactique? ?La strat��gie que j'ai pr��conis��e a d��j�� exist�� th��oriquement, mais elle ��tait moins g��n��ralement appliqu��e, et comme explication de cette incons��quence, je cite les ?jeunes? avec leur phras��ologie r��volutionnaire. Je disais dans mon discours: ?L'action que j'ai recommand��e a d��j�� ��t�� appliqu��e, depuis la suppression de la loi d'exception, dans beaucoup de cas, tant dans le Reichstag qu'au dehors. Je ne l'ai donc pas invent��e, mais je me suis identifi�� avec elle; du reste elle a ��t�� suivie depuis Halle. �� pr��sent on peut moins que jamais s'��loigner de cette mani��re de voir. Ceci prouve clairement que
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