in this place. "_Lesn��, Relieur Fran?ais, �� Mons. T.F. Dibdin, Ministre de la Religion, &c._"
Avec un ris moqueur, je crois vous voir d'ici, D��daigneusement dire: Eh, que veut celui-ci? Qu'ai-je donc de commun avec un vil artiste? Un ouvrier fran?ais, un _Bibliop��giste_? Ose-t-on ravaler un Ministre �� ce point? Que me veut ce _Lesn��_? Je ne le connais point. Je crois me souvenir qu'�� mon voyage en France, Avec ses pauvres vers je nouai connaissance. Mais c'est si peu de chose un po��te �� Paris! Savez-vous bien, Monsieur, pourquoi je vous ��cris? C'est que je crois avoir le droit de vous ��crire. Fussiez-vous cent fois plus qu'on ne saurait le dire, Je vois dans un Ministre un homme tel que moi; Devant Dieu je crois m��me ��tre l'��gal d'un roi.
The Letter however is in prose, with some very few exceptions; and it is just possible that the indulgent Reader may endure a specimen or two of the prose of M. Lesn��, as readily as he has that of his poetry. These specimens are equally delectable, of their kind. Immediately after the preceding poetical burst, the French Bibliopegist continues thus:
D'apr��s cet exorde, vous pensez sans doute que, bien convaincu de ma dignit�� d'homme, je me crois en droit de vous dire franchement ma fa?on de penser; je vous la dirai, Monsieur. Si vous dirigiez un journal bibliographique; que vous fissiez, en un mot, le m��tier de journaliste, je serai peu surpris de voir dans votre Trenti��me Lettre, une foule de choses hasard��es, de mauvais calembourgs, de grossi��ret��s, que nous ne rencontrons m��me pas chez nos journalistes du dernier ordre, en ce qu'ils savent mieux leur monde, et que s'ils lancent une epigramme, f?t-elle fausse, elle est au moins finement tourn��e. Mais vous ��tes ANGLAIS, et par cela seul dispens�� sans doute de cette politesse qui distingue si heureusement notre nation de la v?tre, et que vos compatriotes n'acqui��rent pour la plupart qu'apr��s un long s��jour en France." p. 6.
Towards the latter part of this most formidable "Tentamen Criticum," the irritable author breaks out thus--"C'est une maladie Fran?aise de vouloir toujours imiter les Anglais; ceux-ci, �� leur tour, commencent �� en ��tre atteints." p. 19. A little farther it is thus: "Enfin c'est en imitant qu'on reussit presque toujours mal; vous en ��tes encore, une preuve ��vidente. J'ai vu en beaucoup d'endroits de votre Lettre, que vous avez voulu imiter _Sterne_;[4] qu'est-il arriv��? Vous ��tes rest�� au-dessous de lui, comme tous les Imitateurs de n?tre bon La Fontaine sont rest��s en de?�� de l'immortel Fabuliste." p. 20. But most especially does the sensitive M. Lesn�� betray his surprise and apprehension, on a gratuitous supposition--thrown out by me, by way of pleasantry--that "Mr. Charles Lewis was going over to Paris, to establish there a modern School of Bookbinding." M. Lesn�� thus wrathfully dilates upon this supposition:
"Je me garderai bien de passer sous silence la derni��re partie de votre Lettre; _un bruit assez ��trange est venu jusqu'�� vous_; et Charles Lewis doit vous quitter pour quelque temps pour ��tablir en France une ��cole de reliure d'apres les principes du g?ut anglais; mais vous croyez, dites-vous, que ce projet est s?rement chim��rique, ou que, si on le tentait, il serait de courte dur��e.
Pour cette fois, Monsieur, votre pronostic serait tr��s juste; cette demarche serait une folie: il faudrait s'abuser sur l'engouement des amateurs fran?ais, et ceux qui sont atteints de cette maladie ne sont pas en assez grand nombre pour soutenir un pareil ��tablissement. Oui, l'on aime votre genre de reliure; mais on aime les reliures, fa?on anglaise, faites par les Fran?ais. Pensez-vous done, ou Charles Lewis pense-t-il, qu'il n'y ait plus d'esprit national en France?
Allez, le sang Fran?aise coule encore dans nos veines; Nous pourrons ��prouver des malheurs et des peines, Que nous devrons peut ��tre �� vous autres Anglais; Mais nous voulons rester, nous resterons, Fran?ais!
Ainsi, que Charles Lewis ne se d��range pas; qu'il cesse, s'il les a commenc��s, les pr��paratifs de sa descente; qu'il ne prive pas ses compatriotes d'un artiste soi-disant inimitable. Nous en avons ici qui le valent, et qui se feront un plaisir de perp��teur parmi nous le bon g?ut, l'��l��gance, et la noble simplicit��. p. 25.[5]
So much for M. Lesne. I have briefly noticed M. Peignot, the Bibliographer of Dijon. That worthy wight has made the versions of my Ninth and Thirtieth Letters (First Edition) by M.M. Licquet and Crapelet, the substratum of his first brochure entitled _Vari��t��s, Notices et Raret��s Bibliographiques_, Paris, 1822: it being a supplement to his previous Work of _Curiosit��s Bibliographiques_."[6] It is not always agreeable for an Author to have his Works reflected through the medium of a translation; especially where the Translator suffers a portion, however small, of his own atrabiliousness, to be mixed up with the work translated: nor is it

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