A Bibliographical, Antiquarian and Picturesque Tour in France and Germany, Volume One | Page 8

Thomas Frognall Dibdin
of its author is, that
it may be a part of the furniture of every Circulating Library in the
Kingdom. If he were not conscious that GOOD would result from its
perusal, he would not venture upon such an avowal. "FELIX
FAUSTUMQUE SIT!"
[1] M. Crapelet is of course speaking of the PREVIOUS edition of the
Tour. He continues thus: "M. Dibdin, dans son voyage en France, a
visité nos départemens de l'ouest et de l'est, toutes leurs principales
villes, presque tous les lieux remarquables par les antiquités, par les
monumens, par les beautés du site, ou par les souvenirs historiques. Il a
visité les châteaux, les églises, les chapelles; il a observé nos moeurs,
nos coutumes; nos habitudes; il a examiné nos Musées et nos premiers
Cabinets de curiosité; il s'est concentré dans nos Bibliothéques. Il parle
de notre littérature et des hommes de lettres, des arts et de nos artistes;
il critique les personnes comme les choses; il loue quelquefois, il
plaisante souvent; la vivacité de son esprit l'égare presque toujours." A
careful perusal of the notes in THIS edition will shew that my veracity
has not "almost always led me astray."
[2] GABRIEL PEIGNOT; _Variétés, Notices et Raretés
Bibliographiques, 1822, 8vo. p. 4_.
[3] _Lettre d'un Relieur Francais à un Bibliographe Anglais; à Paris, de

l'Imprimerie de Crapelet_, 1822, 8vo. p.p. 28.
[4] It is a little curious that M. Lesné has not been singular in this
supposition. My amiable and excellent friend M. Schweighæuser of
Strasbourg had the same notion: at least, he told me that the style of the
Tour very frequently reminded him of that of Sterne. I can only
say--and say very honestly--that I as much thought of Sterne as I did
of ... William Caxton!
[5] Copious as are the above quotations, from the thoroughly original
M. Lesné, I cannot resist the risking of the readers patience and good
opinion, by the subjoining of the following passage--with which the
brochure concludes. "D'après la multitude de choses hasardées que
contient votre Lettre, vous en aurez probablement recu quelques unes
de personnes que vous aurez choquées plus que moi, qui vous devrais
plutôt des remercimens pour avoir pris la peine de traduire quelques
pages de mon ouvrage; mais il n'en est pas de même de bien des gens,
et cela ne doit pas les engager à être autant communicatif avec vous, si
vous reveniez en France. Je souhaite, dans ce dernier cas, que tous les
typographes, les bibliothècaires, les bibliognostes, les bibliographes, les
bibliolathes, les bibliomanes, les biblophiles, les bibliopoles, ceux qui
exercent la bibliuguiancie et les bibliopégistes même, soient pour vous
autant de bibliotaphes; vous ne seriez plus à même de critiquer ce que
vous sauriez et ce que vous ne sauriez pas, comme vous l'aviez si
souvent fait inconsidérément:
Mais tous vos procédés ne nous étonnent pas, C'est le sort des Français
de faire DES INGRATS; On les voit servir ceux qui leur furent
nuisibles; Je crois que sur ce point ils sont incorrigibles.
Je vous avouerai cependant que je suis loin d'être fâché de vous voir en
agir ainsi envers mes compatriotes: je désirerais que beaucoup
d'Anglais fissent de même; cela pourrait désangliciser ou
désanglomaniser les Français. Vous, Monsieur, qui aimez les mots
nouveaux, aidez-moi, je vous prie, à franciser, à purifier celui-ci. Quant
à moi
Je ne fus pas nourri de Grec et de Latin, J'appris à veiller tard, à me

lever matin, La nature est le livre où je fis mes études, Et tous ces mots
nouveaux me semblent long-temps rudes; Je trouve qu'on ne peut très
bien les prononcer Sans affectation, au moins sans grimacer; Que tous
ces mots tirés des langues étrangères, Devraient être l'objet de critiques
sévères. Faites donc de l'esprit en depit du bon sens, On vous critiquera;
quant à moi j'y consens.
Je terminerai cette longue Lettre de deux manières: à l'anglaise, en vous
souhaitant le bon jour ou le bon soir, suivant l'heure à laquelle vous la
recevrez; à la française, en vous priant de me croire,
Monsieur,
Votre très humble serviteur,
LESNÉ.
[6] The above brochure consists of two Letters; each to an anonymous
bibliographical "Confrere:" one is upon the subject of M. Crapelet's
version--the other, upon that of M. Licquet's version--of a portion of
the Tour. The notice of the Works of the Author of the Tour; a list of
the prices for which the Books mentioned in it have been sold; a Notice
of the "Hours of Charlemagne" (see vol. ii. 199) and some account of
the late Mr. Porson "Librarian of the London Institution"--form the
remaining portion of this little volume of about 160 pages. For the
"Curiosités Bibliographiques," consult the Bibliomania, pp. 90, 91, &c.
&c.
[7] This letter accompanied another Work of M. Peignot, relating to
editions and translations
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